Fake

Fake, Giulio Minghini, Ed. Allia, 2009
Au début du livre, le narrateur, un Italien exilé à Paris, à la suite d'une rupture amoureuse, s'inscrit sur un site de rencontres. La suite est une accumulation de rendez-vous ou d'échecs avec des femmes, une sorte d'inventaire de son année amoureuse -ou plutôt sexuelle. Giulio Minghini évoque -ou dénonce- le pseudo-intellectualisme des bobos parisiens, le milieu artistique de la capitale, et bien sûr les sites de rencontres. Je ne lui reproche pas ses propos, mais d'utiliser, pour les tenir, les ficelles qu'il dénonce : un savoir sûrement étendu, mais méprisant vis-à-vis des moins cultivés que lui. Tout au long du livre, on a le droit à des citations obscures, absconses et des commentaires pédants. Livre qui vous l'avez compris ne m'a pas plu, que j'ai même trouvé assez détestable.
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Aifelle 04/05/2009 17:40
Yv 04/05/2009 19:40
calypso 04/05/2009 14:17
Yv 04/05/2009 16:12
Isa 04/05/2009 12:27
Yv 04/05/2009 16:11
Marie 03/05/2009 21:23
Yv 04/05/2009 16:11
sylire 02/05/2009 20:19
Yv 04/05/2009 16:10